• Chimère du Chat Noir

    Tout pâle, usé, le temps submergé
    La ville des gabelleurs, des paillardises et des teinturières
    Distrait nonchalamment ses carrefours blanchis 
    Sur de très malheureuses églises vaincues d'une dame immortelle

    Quand soudain son époux fit ce nom chétif
    J'égaye dans un corsage qui chante et qui rit
    Mon avocat redit et se regarde ! Ou donc es-tu, ma marmouzelle ?
    Dors ! Tout mon âge enceint te glisse en ceignant

    À ces nuits le gabelleur  se lève de mignotises
    Si tu es jusqu'au profit d'amour
    Je te crois, porte-t-elle,  à supposer ta vêprée !

    Et misérable, elle se tut, regardant l'inquiet présent
    Ses simples satins par un brocant intérieur
    Et sa triste coiffe par un esmouchail de teinturier.

    Un gros cadeau à celui ou celle qui retrouve les quatres textes à l'origine de cette chimère !

    « Défi zéro-social !Le poids du flash. »

  • Commentaires

    1
    Ay
    Dimanche 2 Décembre 2012 à 12:16

    T'as oublié le Yooo

     

    Yoooo



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