• Les morts

    Les badauds attroupés Le drapeau est en berne
    Un drapeau noir et triste au mouvement flapi
    Le deuil est entamé La révolte est finie
    Et devient une idée que personne ne cerne
    Lisse Pure et nacrée

    Rien ne peut arrêter l'horlogerie funeste
    Car la mort nous relègue au rang de l'absolu
    Insipide parfait Mystère résolu
    On peut tout en tirer comme d'un manifeste
    Ou d'un livre sacré

    Les badauds ci et là questionnent le défunt
    D'un ignare cerveau se compose un éloge
    Réservant la critique aux plus intimes loges
    Pauvres révoltes dont les idées sont la fin
    La pensée massacrée.


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  • Commentaires

    1
    Telegramme Profil de Telegramme
    Dimanche 5 Août 2012 à 22:46

    A quand un petit post ? Tu manques sur la plateforme.. :(



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