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Sonnet tempêtueux (Kitari)
De dures tours face aux tourments soudain se dressent
Les rochers graves Sont récifs pour le volage
Au sombre instar du dieu du trouble et de l'orage
Que je conserve loin de toi Ô ma traîtresseJe veux te voir venir au rang des poétesses
Là où le mal ne se produit ou se propage
Mais l'œil est vif Il se fait dur et sans partage
Dans les filets du très grand MéphistophélèsEnsuite l'air devint d'un coup très doux, très pur
Mes doigts pliés sur tes replis Ta reliure
Comme ton corps au mien d'amour d'amour se mouleChantons encore l'hymne aimé de l'élégance
Apprends-moi tout Le cœur La vie L'indifférence
Une fois l'onde devenue l'immonde foule-Merci à Kitari !
Tags : ton, kitari, amour, vif, traitresse
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