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Sonnet tempêtueux (Télégramme)
La mer est folle c'est la foule en pleine liesse
Dans la clameur d'un bruit rempli d'enfantillages
Une puissance de tempête pourtant sage
Ce n'est un feu ni un repos Une faiblesseJe n'y crois pas Je ne veux pas que ça paraisse
Sous l'onde obscure et sous le ciel bardé d'orage
Cependant nul n'a pu différer son voyage
Quand l'amour mêle et joie et haine et gentillesseAlors le mousse ensommeillé sent le sulfure
Ramène-moi auprès de toi Les temps sont durs
Comme ton corps au mien d'amour d'amour se mouleJe suis et fuis Je pousse et pouffe Je repense
L'orage est mort et je te veux Dernière chance
Et voguons loin, près de Boston ou de SéoulMerci à Télégramme ! Son blog ici !
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