• Humour noir et parodies

    Dans cette rubrique, je posterai mes délires poétiques, adaptations poétiques d'évènements ou de faits desquels on ne devrait pas rigoler. Cependant, comme certains n'apprécieront sûrement pas l'humour de cette rubrique, je mettrai les articles de la rubrique sous "chapô". 

    Humour noir et rire jaune : par ici !

    Morelon.

  • C'est assez incroyable de tomber sur des textes comme ça. Je veux dire, personne ne leur dit jamais rien, ou...? 

     

    A mon frère en prison

    Certains se targuent d'être au rang des Parnassiens
    Je ne suis qu'un enfant dont la mère insouciante
    Ne sentit que d'un peu passer l'âme naissante
    Et de ma rage si elle peut, à ces chiens
    Je leur ferai tous voir où ils peuvent la mettre
    Ne nous contentons pas seulement de paraître


    Même si lors devant le juge on comparaît
    Reste fort en prison, attends de mes nouvelles
    Chacun son tour, vengeance et revanche et la belle
    Tous ces moments de joie, où es-tu, frère d'armes ?
    Quand nous nous reverrons, douces seront les larmes
    Garde ta rage en toi, toi-même tu le sais


    Après le grand orage arrive le beau temps
    Après cette oubliette arrive le bon temps
    Reste fort, pas un jour nous n'oublions !
    A ton nom les esprits s'échauffent et le sang
    Ne fait qu'un tour et c'est la tristesse qu'on sent


    Injuste jugement ! La toge magistrale
    Sera bien imbibée d'une essence infernale
    Pour avoir condamné une erreur de jeunesse
    D'une peine cruelle et d'une main traîtresse.
    Yoooo


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  • Attention : le texte qui va suivre, autant que ma traduction, contient un fond autant qu'une forme choquante. Eloignez les enfants et rangez le chat, éteignez votre conjoint et allumez la radio ; ça va dépoter.

    Défi zéro social

     

    Traduction :

    Faquin rempli d'étrons ! Sais-tu que ma grand-mère
    Est plus belle que toi ? Ta bouche est un derrière
    Il en sort le produit aussi bien que l'odeur
    Butor, et de ta mère on vante la laideur
    Telle celle d'un rat dont le temps se joua
    Rongé de vermisseaux s'en donnant à coeur joie
    Tu n'es qu'un sot. Tu n'as ni la tête ni les jambes
    Ta mère est un chemin que tout le monde enjambe
    Point de péage : elle aime à aimer pour de rien
    Jusqu'au craquage honteux de son arrière-train
    Et pour parler encor de sa fleur d'oranger
    Regarde-le ce trou, comme il est ravagé !
    Depuis qu'elle a huit ans elle va à l'église
    Pour voir notre curé décharger sa prêtrise.
    Et sa lippe barbue lui valut le surnom
    Du vaillant d'Artagnan. Ta mère est amatrice
    D'avalages goulus de très nombreux pénis
    Mais assez de ta mère, arrivons à ton père.
    Sais-tu ; ce gigolo prend tout pour trois euros ?
    Sur le périphérique, c'est carambaro !
    Venons-en à ta soeur, le pire de l'histoire
    Cette catin fricote en masse dans les caves
    Dans toutes les cités, gratuitement, c'est grave !
    Elle aime l'arrivée d'un chargement de dards
    A la fleur de derrière obstruée ; c'est un art !
    Revenons en à toi, maraud larvaire et vil
    Juste bon à lécher le désastreux pistil
    De ta mère ; tu n'es qu'un vilain inverti
    Un sale sodomite à l'orifice empli
    De sexes empilés vidés à la toilette
    Tu t'enfonçais déjà, portant une layette
    De ce "Canard Wécé" dans ton sombre orifice
    Jusqu'à constipation. Va ! Fais donc ton office !
    Mange donc les totems ! C'est là qu'est ton métier
    Et ta radinerie te pousse à avaler
    Les dards par tas de cinq, et tu aurais fait plus
    Un à la main, un à la bouche, un à l'anus
    Un dans le trou d'un oeil de verre, affreux lépreux
    Tu n'es rien qu'un coulis de foutre bien vieux
    Sorti d'exultation du gland d'un grand chameau
    Plein de morve canine et pas d'un chien très beau ;
    Son cul est envahi par les vers solitaires.


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  • Et encore une adaptation de chronique, dans le style du théâtre cette fois-ci !

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  • Dans ce post, une adaptation poétique d'une "chronique", ces histoires (parfois autobiographiques) qui fleurissent sur Facebook, narrant en général les aventures et mésaventures d'un(e) adolescent(e), dans un style, une syntaxe et une orthographe souvent navrants. 

    Attention : des sujets graves sont traités ici avec légèreté. Si vous êtes offusqués, c'est normal. 

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