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Humour noir et parodies
Dans cette rubrique, je posterai mes délires poétiques, adaptations poétiques d'évènements ou de faits desquels on ne devrait pas rigoler. Cependant, comme certains n'apprécieront sûrement pas l'humour de cette rubrique, je mettrai les articles de la rubrique sous "chapô".
Humour noir et rire jaune : par ici !
Morelon.
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Par Morelon le 1 Décembre 2012 à 16:24
A mon frère en prison
Certains se targuent d'être au rang des Parnassiens
Je ne suis qu'un enfant dont la mère insouciante
Ne sentit que d'un peu passer l'âme naissante
Et de ma rage si elle peut, à ces chiens
Je leur ferai tous voir où ils peuvent la mettre
Ne nous contentons pas seulement de paraître
Même si lors devant le juge on comparaît
Reste fort en prison, attends de mes nouvelles
Chacun son tour, vengeance et revanche et la belle
Tous ces moments de joie, où es-tu, frère d'armes ?
Quand nous nous reverrons, douces seront les larmes
Garde ta rage en toi, toi-même tu le sais
Après le grand orage arrive le beau temps
Après cette oubliette arrive le bon temps
Reste fort, pas un jour nous n'oublions !
A ton nom les esprits s'échauffent et le sang
Ne fait qu'un tour et c'est la tristesse qu'on sent
Injuste jugement ! La toge magistrale
Sera bien imbibée d'une essence infernale
Pour avoir condamné une erreur de jeunesse
D'une peine cruelle et d'une main traîtresse.
Yoooo
1 commentaire -
Par Morelon le 3 Novembre 2012 à 11:20
Attention : le texte qui va suivre, autant que ma traduction, contient un fond autant qu'une forme choquante. Eloignez les enfants et rangez le chat, éteignez votre conjoint et allumez la radio ; ça va dépoter.
Traduction :
Faquin rempli d'étrons ! Sais-tu que ma grand-mère
Est plus belle que toi ? Ta bouche est un derrière
Il en sort le produit aussi bien que l'odeur
Butor, et de ta mère on vante la laideur
Telle celle d'un rat dont le temps se joua
Rongé de vermisseaux s'en donnant à coeur joie
Tu n'es qu'un sot. Tu n'as ni la tête ni les jambes
Ta mère est un chemin que tout le monde enjambe
Point de péage : elle aime à aimer pour de rien
Jusqu'au craquage honteux de son arrière-train
Et pour parler encor de sa fleur d'oranger
Regarde-le ce trou, comme il est ravagé !
Depuis qu'elle a huit ans elle va à l'église
Pour voir notre curé décharger sa prêtrise.
Et sa lippe barbue lui valut le surnom
Du vaillant d'Artagnan. Ta mère est amatrice
D'avalages goulus de très nombreux pénis
Mais assez de ta mère, arrivons à ton père.
Sais-tu ; ce gigolo prend tout pour trois euros ?
Sur le périphérique, c'est carambaro !
Venons-en à ta soeur, le pire de l'histoire
Cette catin fricote en masse dans les caves
Dans toutes les cités, gratuitement, c'est grave !
Elle aime l'arrivée d'un chargement de dards
A la fleur de derrière obstruée ; c'est un art !
Revenons en à toi, maraud larvaire et vil
Juste bon à lécher le désastreux pistil
De ta mère ; tu n'es qu'un vilain inverti
Un sale sodomite à l'orifice empli
De sexes empilés vidés à la toilette
Tu t'enfonçais déjà, portant une layette
De ce "Canard Wécé" dans ton sombre orifice
Jusqu'à constipation. Va ! Fais donc ton office !
Mange donc les totems ! C'est là qu'est ton métier
Et ta radinerie te pousse à avaler
Les dards par tas de cinq, et tu aurais fait plus
Un à la main, un à la bouche, un à l'anus
Un dans le trou d'un oeil de verre, affreux lépreux
Tu n'es rien qu'un coulis de foutre bien vieux
Sorti d'exultation du gland d'un grand chameau
Plein de morve canine et pas d'un chien très beau ;
Son cul est envahi par les vers solitaires.
3 commentaires -
Par Morelon le 23 Octobre 2012 à 16:02
Et encore une adaptation de chronique, dans le style du théâtre cette fois-ci !
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Par Morelon le 23 Octobre 2012 à 15:03
Dans ce post, une adaptation poétique d'une "chronique", ces histoires (parfois autobiographiques) qui fleurissent sur Facebook, narrant en général les aventures et mésaventures d'un(e) adolescent(e), dans un style, une syntaxe et une orthographe souvent navrants.
Attention : des sujets graves sont traités ici avec légèreté. Si vous êtes offusqués, c'est normal.
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